Mon Dieu, pardon, mon Federer comme celle-ci fait du bien votre victoire, mon Federer tel celle-ci nous redonne le sourire et nous fait oublier ce gazon indigne, ce debut d’annee merdique et, plus pres de nous, votre Roland Garros grotesque.

Mon Dieu, pardon, mon Federer comme celle-ci fait du bien votre victoire, mon Federer tel celle-ci nous redonne le sourire et nous fait oublier ce gazon indigne, ce debut d’annee merdique et, plus pres de nous, votre Roland Garros grotesque.

Ce n’est qu’une demi-finale, rien n’est fait et on sait tres bien que Djokobite reste 1 traumatisme Afin de nous en finale de Grand Chelem (j’y reviendrai) mais la il convient juste savourer.

Savourer ce match 5 etoiles, savourer ce retour eblouissant du Maitre, savourer cette victoire contre votre Popeye sans grand fair-play, lui qui a mis une plombe Afin de remplacer son bandage a 5-4 au quatrieme set, service a suivre Federer, histoire de tenter un enieme coup de poker. C’etait faible, petit et indigne de sa personne, c’etait Sergio Ramos qui te prend votre deuxieme jaune volontaire Afin de etre suspendu au match retour.

En etat de grace et en mode attaque, le Maitre nous a achete un veritable recital et une 101eme victoire eclatante dans le jardin, record absolu en Majeur. Son plus excellent match – et de tres loin – de sa saison, voire des deux dernieres annees. Imperial au service, impressionnant en revers, agressif en coup droit, solide dans la tete (oh que oui), l’homme aux vingt Majeurs et six Wimbledon a epate Notre galerie ce vendredi, comme a sa grande epoque. Sa joie est belle, sincere, touchante. Celle de son clan aussi. Et bien ca a quelques temps de l’ensemble de ses 38 annees. Il n’y a plus de mots, il n’y a que du respect. Un immense respect et une erection aussi grande que le nombre de victoires de notre Rodgeur national (101, putain 101 !) dans le theatre des reves. Continue reading Mon Dieu, pardon, mon Federer comme celle-ci fait du bien votre victoire, mon Federer tel celle-ci nous redonne le sourire et nous fait oublier ce gazon indigne, ce debut d’annee merdique et, plus pres de nous, votre Roland Garros grotesque.