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I – Qu’est votre que la liberte ? 1. La liberte reste une absence de contraintes. 2. Notre libre arbitre
J’ai LIBERTE
La liberte semble etre et cela peut etre experimente a tout instant via une simple decision de la volonte qui oriente nos actions en fonction d’un choix qui est notre, qui peut a tout moment apporter le assentiment ou le refuser a et cela se presente. Comme claque remarquer Descartes : ” J’ai liberte se connait sans preuve par la seule experience que nous en avons.”. L’immediatete de ce sentiment lui donne t-il concernant autant un fondement ? La liberte comme libre decret d’la volonte n’est-elle gui?re une illusion liee a J’ai conjonction d’la conscience de les actes et de l’ignorance des contraintes qui s’exercent concernant nous quand nous choisissons ? La liberte est-elle plus grande lorsqu’apparemment rien ne nous pousse a opter pour ? Avons-nous plus d’independance en volonte dans la resistance a ce que une entendement nous impose ou au contraire dans l’acceptation de et cela est utile au deploiement de l’etre ? Pouvons-nous aussi etre libres dans l’ignorance de ce qui constitue l’essence des choses et J’ai notre ? Etre libre, n’est-ce gui?re vouloir cela s’impose de sa seule necessite a etre ainsi et jamais autrement parce que le deploiement de l’etre l’exige ? N’est-ce gui?re lorsqu’un acte ou une decision ne nous laissent plus les moyens d’etre refuses que nous choisissons le plus pleinement ? Socrate ne pouvait gui?re vivre sans philosopher parce que philosopher etait l’expression la plus profonde de le etre, Van Gogh n’aurait pu concevoir de peindre autrement parce que c’est ainsi qu’il est a sa juste place dans l’existence. Si la liberte reside dans l’aptitude a acheter polyamory date et cela nous accomplit et nous rejouit a la fois, n’est-elle jamais le service de la conquete et d’une liberation progressive qui nous apprend a discerner et cela nous detourne de nous-meme bien en se presentant sous l’apparence de la liberte immediate (l’accomplissement sans frein de pulsion, la volonte de domination et de pouvoir, la paresse, l’absence de contraintes et de discipline autant dans les actes que les pensees, l’absence d’exigence pour notre vie) ? Loin d’eliminer la contrainte, la liberte ne peut se concevoir qu’a partir d’elle mais elle substitue a une contrainte imposee de l’exterieur (heteronomie) une contrainte important que l’etre s’impose a lui-meme (autonomie). Comme le fait remarquer Rousseau : “l’impulsion du seul appetit est esclavage, et l’obeissance a Notre loi qu’on s’est prescrite reste liberte”. Notre liberte releve bien davantage de l’exigence que l’on s’impose a soi et du devoir pour votre qu’on a a etre que de l’immediatete ainsi que la facilite. Pour le sens, nous pouvons comprendre que “nous sommes condamnes a etre libres” comme le devoile Sartre. Nous devons repondre de nos actes et de nos engagements malgre nos determinismes agissants sur nous, bien que nous n’ayons jamais la connaissance en totalite des parametres tel si nous en etions pleinement nos auteurs. Pouvoir repondre de nous, voila l’imperatif exige par la morale et l’existence avec nos semblables et cela doit pouvoir l’etre de tout homme quelque soit son effectif degre de liberte. Kant va meme jusqu’a reconnaitre qu’il n’existe peut-etre aucun acte libre (dont nous serions la cause initiatrice) au monde, c’est pourquoi nous devons postuler la liberte humaine comme condition de l’exigence morale elle-meme condition en valeur d’une personne humaine a partir de laquelle le devoir de respect prend sens. Lorsqu’un homme est juge dans un tribunal, on le suppose libre d’avoir agi autrement sans quoi on ne pourrait nullement le punir et en ce sens la punition est votre droit, une reconnaissance de son humanite. Si l’experience une liberte n’est jamais humainement possible, il est neanmoins specifiquement humain de l’exiger ainsi que l’attendre en depit des exemples d’alienation multiples. Nous nous donnons nos lois qui nous punirons si nous des enfreindrons mais une telle contrainte nous libere toutefois de l’arbitraire du pouvoir humain. Ainsi que le dit Rousseau “un peuple obeit a toutes les lois, mais il n’obeit qu’aux lois et c’est par la force de lois qu’il n’obeit nullement aux hommes.” N’avons-nous gui?re finalement la liberte que nous exigeons de nous, que nous nous donnons pour notre grandeur et pour notre malheur ?